Comme en témoignent les bâtiments en construction sur le boulevard Mélot et sur l’ancien terrain des Casernes, Namur se transforme considérablement.
Les deux dossiers que nous abordons aujourd’hui - le parking de la place du Palais de Justice et le square Léopold – montrent cependant que l’aménagement d’une ville ne va pas de soi. La ville est un bien commun et, plus elle évolue, plus la concertation est indispensable... et difficile.
Le cas en est devenu pathétique : la Ville contre l’Université et vice-versa, avec, au centre du jeu, la voiture dont tout le monde dit qu’il faut l’écarter des coeurs de ville.
Comment en est-on arrivé là ? L’UNamur, qui ne se sent pas écoutée par la Ville, réunit une conférence de presse pour prendre l’opinion publique à témoin de son bon droit. Le bourgmestre réagit en parlant d’un «coup de poignard dans le dos ». C’est nouveau et dramatique.
Photo © André Dubuisson
Cela se passe à Gembloux. Tous les centres de recherche de la faculté Agro-Bio Tech se sont réunis au sein d’une unité qui a pris le nom de TERRA, parce que c’est bien l’avenir de la planète qu’ils ont en point de mire.
Au sortir de l’église de Crupet, il était beau comme un dieu. Les gestes vifs, les yeux brillants, le verbe clair. On a tous compris à ce moment qu’il avait raison. Et une folle envie de le soutenir nous a saisis. Ce que le guitariste Quentin Dujardin avait à dire et qu’il a clamé haut et clair était ceci : « la culture se meurt et nos dirigeants n’en ont cure ». Toute la presse audiovisuelle était présente et a relayé son message. Les manifestations du samedi suivant sous le signe « Still Standing for Culture » ont résonné comme un écho à la protestation de l’allumeur de la flamme revendicatrice.
Depuis 37 ans, Confluent organise la proclamation des “Namurois de l’année”.
Ces personnalités sont distinguées pour ce qu’elles apportent à notre région, à son développement et à son rayonnement, mais aussi à son esprit d’ouverture et de fraternité.
En 2012, la Ville de Namur a adopté son livre blanc Namur-Conflfluent-Culture. Il est le fruit de la volonté clairement exprimée par le bourgmestre Maxime Prévot, désormais en charge de la culture, de faire de cette politique un levier d’action prioritaire du territoire namurois. Cela fut expressément consigné dans la Déclaration de politique générale de la législature 2012-2018. Coordonné par Mélanie De Groote, attachée au cabinet du bourgmestre, il est le fruit d’un énorme travail de consultation de tous les acteurs culturels namurois.
Ils ont des lieux rénovés ou flambant neufs, mais qu’en font-ils ? Dans nos contacts avec les responsables nous avons perçu un changement radical dans leur façon de concevoir leur mission.
Avant d’aborder les activités culturelles, nous avons cherché à savoir « où ça se passe ». Plus de 50 lieux ont été repérés et la plupart d’entre eux font ou ont fait l’objet de travaux importants au cours des dix dernières années. Namur comme pôle de culture a monté d’un cran !
Au début de la pandémie, les médecins généalistes ont été les premiers confrontés aux personnes se plaignant des symptomes du virus. Ils décidaient du testing, de l’entrée à l’hôpital ou du confinement à domicile. Coordinateur Covid du Rassemblement des Généralistes Namurois (RGN), le Dr Dominique Henrion témoigne pour eux.
Le caractère inédit de cette crise « Covid 19 » n’a pas épargné les services de Police tant dans leur implication que dans la réorganisation de leurs missions. Le chef de corps Olivier Libois le précise.
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